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France: d’anciens militaires parmi les jihadistes français

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Une dizaine d’anciens militaires français sont aujourd’hui au combat sous une bannière jihadiste en Syrie en Irak. Ce matin en conférence de presse, Jean-Yves Le Drian confirme cette information RFI et parle de cas «extrêmement rares».

Une dizaine d’anciens militaires français sont aujourd’hui au combat sous une bannière jihadiste en Syrie et en Irak et la plupart combattent actuellement dans les rangs du groupe Etat islamique. L’un d’eux a d’ailleurs mis ses compétences militaires acquises sous le drapeau français au service d’un encadrement de jeunes jihadistes français. Il est en effet actuellement émir d’un groupe de Français dans la région de Deir Ezzor où il commande un groupe d’une dizaine de combattants français qu’il a formé au combat.

D’autres sont experts en explosifs, il s’agit de jeunes d’une vingtaine d’années. Certains sont convertis, d’autres issus de culture arabo-musulmane. Et parmi eux, il y a des anciens de la Légion étrangère ou d’anciens parachutistes. Certains de ces jihadistes ont eux-mêmes annoncé être d’anciens soldats français sur les réseaux sociaux. Ce mercredi matin, l’armée confirme l’existence de ces cas « très rares » au sein de l’armée.

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Commentaires récents

  1. jeannot

    Mais où vont nos français Mr le Président!
    Pensez-vous avoir une part de responsabilité lorsqu’on vit continuellement la FRANCE que vous bradez à tous vents!
    Seront-ils ,comme le Général DE GAULE en son temps, la résistance de la France de ses valeurs républicaines que vous trahissez par vos mensonges continuels?
    Pour le bien des français:Partez!
    Ma liberté d’expression !Ca vous dérange?
    Vive la France!

    1. Jean

      Si ces militaires ont été trahis par l’armée qui les a utilisés sur le même modèle de l’exploitation des entreprises : manière « Kleenex » pendant leurs meilleures années de 20 à 25 ans avec de gros CDD contractuels, sans qu’ils puissent avoir au moins une mini « carrière » de 15 ans, alors c’est compréhensible que revenu au niveau de tous les autres chômeurs RSAistes, ils se lance dans ce genre de fuite en avant.

      Surtout si on considère qu’il est possible de se faire beaucoup d’argent pour les faux djihadistes, mais vrais mafieux (genre vendre sang vierge chrétienne à de riches émirs).
      Ou de bénéficier d’un statut « ancien combattant » avec les privilèges qui vont avec et qu’ils n’auraient pas eu en France à être simple chômeur RSAiste.

  2. ced

    j’ai du mal a saisir! que ce passe il ? ou vas t’on ? il n’y as pas un probleme ? le pire dans tout cela c’est qu’ ils aprènnent a ce battre dans nos rans pour partir ensuite se battre d’une façon ou d’une autre contre nous, ils n’on aucune moral ni respect sauf pour leurs dieu « allah » (immaginaire) qu’ils les rend completement agressif et dangereux ! je m’abstien d’en dire plus sur cela je ne veux pas crée d’amalgame mais ces « putin » de jihadistes il ne faut en aucun cas les laisser rentrer dans notre pays qui es la france !!! ils nous échappe! ils parte faire leurs petite guerre! tres bien ! mais qu’on leurs coupe les vivre en france! plus de passeport ainsi que leurs « Nationalité » qu’il n’y es pas de retour possible je pense qu’il y as as faire pour notre sécurité a tous !!! pour charlie et vive la france comme pourrait dire beaucoup !!

  3. jojo

    « Ex » Continuez de dormir braves veaux !
    Vous avez déjà oublié comment s’est passé la bataille de Qousseir ou quoi ?
    Dans cette bataille, il y avait une forte participation du Hezbollah libanais et un déluge de propagande médiatique à travers tout l’occident. Pourquoi ? Qousseir était une petite ville hautement stratégique de l’anti-Liban syrien à la frontière syrio-libanaise parce qu’elle servait d’étape au mouvement du courant du futur (sunnites libanais de Saad Hariri) pour le ravitaillement en arme, en nourriture et en hommes des djihadistes occupant Homs, la troisième de Syrie, 1ere par ses capacité de raffinage pétrolier et stratégique pour relier Damas à la cote méditerranéenne par la route. Dans la foulée de la chute de Qousseir, l’armée nationale syrienne entamait le siège de Homs et un mois plus tard, Fabius et Kerry négociaient en toute discrétion avec le gouvernement syrien l’exfiltration vers la Turquie des principaux « chefs » djihadistes de la région, très probablement constitué d' »ex »-militaires occidentaux et saoudiens.
    La France a suivi le modèle américain de restructuration de son armée basé sur la diminution du volume de ses troupes d’occupation au sol (fantassins et cavaliers de l’armée de terre, parachutistes) et l’augmentation de son contingent de force spéciale. C’est pour cela que des casernes fermes. Il a été jugé plus rentable et plus vendable en haut lieu d’effectuer des guerres d’agression de type guerre nicaraguayenne de 4eme génération (reposant sur un nombre réduit d’officiers engagés au sol, des mercenaires idiot-utiles, une dose massive de propagande de guerre et si besoin un appui de l’armée de l’air) et de réserver les guerres d’invasion à des cas d’absolue nécessité, l’opinion publique les acceptant de moins en moins bien.
    C’est sur ce modèle que s’est poursuivit la guerre en Irak et qu’ont été mené les guerres de Libye, de Syrie et de nombreux conflits africains.

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