Première partie de l’entretien réalisé mercredi 18 février avec Laurent Obertone autour de son dernier ouvrage, la France Big Brother, publié aux éditions Ring. La seconde vidéo sera mise en ligne très prochainement.
Le synopsis :
Enquête sur un sujet tabou : le conditionnement d’une nation.
Qui est Big Brother ?
Le sommet de la pyramide. Le gouvernement. L’administration. Les médias. Les experts. Les idéologues. La pensée unique. Les écrans. Une organisation qui a pris toutes les apparences d’une société libre et démocratique.
Big Brother, c’est la Voix, la rumeur du monde, le bruit de fond qui nous apprend à consommer, à obéir, à penser. Celui qui vous répète tous les jours qu’il faut du pouvoir d’achat, que les inégalités se creusent, que l’immigration est à la fois une chance et un fantasme. C’est lui qui invente des scandales, définit les limites du langage et de la pensée, décide du digne, de l’indigne et du tabou. C’est lui qui vous rend l’enfer confortable.
Français, Big Brother est votre opium.
Vous vous êtes ouvert l’esprit, comme d’autres s’ouvrent les veines.Recueillant les confidences de journalistes, politiques et hommes d’influence repentis, Laurent Obertone pénètre les arcanes du plus grand système de conditionnement de masse jamais mis en place en France. Il donne enfin un visage à la terreur médiatique, politique et idéologique qui accable notre pays.
Bienvenue dans la République des écrans.
A propos de l’école et de la destruction de l’intelligence, lire « Machiavel pédagogue » de Pascal Bernardin.
Ah, notre bon vieux Pélicastre Jouissif. Il a pas changé. Un peu grossi, mais pas changé
Son analyse est inintéressante, y a pas a dire, il a trouvé l’art et la manière de dénoncer sans trop se mouiller.
Cette interview est à montrer aux personnes qui ne se cultivent pas dans cette voie, ceux qui sont encore emprisonnés dans la pensée binaire à la Walt Disney… c’est une bonne première approche pour comprendre la situation actuelle sans trop se faire mal au crane.
Obertone. beurk.
Faut voir qui se cache derrière sa boite d’édition. Des sionistes et franc-maçons tels que Alain bauer. Il a même utilisé l’institut de recherche de Mister Bauer pour ses stats qui ont servi à son libre « La France orange mécanique ».