Source : La Tribune
Le nouveau gouvernement grec démarre fort: il annonce sa volonté de stopper de nombreuses privatisations exigées par les créanciers du pays dont celle très symbolique du port du Pirée (au profit du conglomérat chinois Cosco). D’autres mesures seront annoncées tout au long de ce mercredi. La Bourse d’Athènes reculait de 6% ce matin.
Les yeux de la Troïka sont rivés sur Athènes, ce mercredi 28 janvier. Le premier conseil des ministres du nouveau gouvernement Alexis Tsipras n’accouchera pas d’une souris. Ce dernier annoncera les premières mesures d’urgence anti-austérité. Certaines mesures sont déjà connues.
Plusieurs projets de privatisation stoppés
- Le port du Pirée
Le nouveau gouvernement grec va stopper le processus de privatisation du port du Pirée lancé par la majorité précédente. « Nous ne vendrons pas de part majoritaire dans le port du Pirée », a annoncé mardi Thodoris Dritsas, le nouveau ministre adjoint chargé du Transport maritime. Il a ajouté que l’accord existant avec le groupe chinois Cosco serait réexaminé au nom des intérêts du peuple grec.
- La première société de services aux collectivités
Le gouvernement prévoit également de suspendre le projet de privatisation de PPC, la première société de services aux collectivités, a annoncé mercredi Panagiotis Lafazanis, le ministre de l’Energie, à la télévision grecque. Le précédent gouvernement avait adopté l’an passé un texte de loi visant à scinder une partie des activités de PPC et à la privatiser dans le cadre d’un programme de libéralisation du marché de l’énergie.
- Le principal opérateur public d’électricité DEI
Mercredi également, interrogé sur les chaînes de télévision Mega et Skaï, le ministre de l’Energie Panayotis Lafazanis avait fait part de l’intention du gouvernement de ne pas privatiser, comme c’était prévu, le principal opérateur public d’électricité DEI. « Nous voulons faire en sorte que le courant soit bon marché afin d’améliorer la compétitivité […] une nouvelle DEI productive va aider à faire avancer le pays », a-t-il dit.
Suite à l’annonce de l’arrêt de ces privatisations, la Bourse d’Athènes reculait de quelque 8% mercredi vers 15 heures (heure de Paris), tombant à un nouveau creux historique. En outre, le rendement des obligations souveraines à cinq ans atteignait un niveau record de 13,12%. Le titre PPC reculait de 13,73%, et celui du Port du Pirée de 8,7%
Vive la Grèce !
oui la gréce, demain la france , une révolutiuon est en marche
10 millions de chomeur vont mettre le pays cao
Vive la Grèce il faut faire pareil en France, en finir avec cette oligarchie qui dirige le pays, nationalisation, des banques , reprise du contrôle de la monnaie, nationalisation de toute les infrastructure, de l’énergie et de l’armement.
Taxation lourde des rentiers et spéculateurs ce qui font de l’argent avec de l’argent.
Les 30 glorieuse son à notre porté, il suffit de reprendre la liberté pour le peuple et par le peuple.
La capitalisme et le mondialisme à échouer, comme le communisme, il faut quelque chose de nouveau.
J’espère qu’il va tenir bon et le peuple grec avec car en face d’eux il ne faut pas oublier ce sont des gens sans pitié et sans honneur,capable de mettre la gréce à feu et sang.