14 janvier 2015
Nuclearelectrica, société publique nucléaire qui gère la seule centrale nucléaire en Roumanie (deux réacteurs et projette d’en construire deux autres avec des investisseurs chinois) a commandé une étude visant à analyser l’impact des activités de fracturation hydraulique proposées par Chevron, qui a trois permis de gaz de schiste au sud de la centrale nucléaire de Cernavoda, dans le sud-est de la Roumanie. L’étude a constaté que la fracturation hydraulique pourrait avoir une incidence sur la centrale nucléaire et a mise en garde contre toute activité de fracturation hydraulique dans un rayon de 100 km autour de cette centrale. C’est la première fois qu’une voix venant du secteur de l’énergie en Roumanie ose s’exprimer au sujet de la fracturation hydraulique.
Ben oui, si on transforme le sous sol en sable, il est sûr que ce sera moins stable qu’un sol dur. c’est juste une question de logique. Mais la logique financière est très différente de la logique technique (lois de la physique), et même incompatible. Dommage qu’on s’en rende compte une fois le fait accompli… toujours la vision à court terme
Un exemple sur de simples maisons :
http://reportagetv.blogspot.fr/2013/10/66-minutes-Lochwiller-Mon-village-s-effondre.html
On imagine avec une centrale nucléaire…