Source : politis.fr
La décision des banquiers centraux menace d’asphyxier financièrement l’Etat grec pour obliger le gouvernement d’Alexis Tsipras à renoncer à ses engagements.
La Banque centrale européenne (BCE) a annoncé dans un communiqué mercredi soir qu’elle avait décidé de priver les banques grecques d’une de leurs sources de financement, avec l’objectif affiché de faire plier le gouvernement d’Alexis Tsipras ou de précipiter l’asphyxie financière de l’État grec.
Cette suspension décidée par le conseil des gouverneurs « est conforme aux règles de l’eurosystème », assure le communiqué de l’institution, publié quelques heures après que le nouveau ministre grec des Finances, Yanis Varoufakis, avait évoqué des « discussions fructueuses » avec le président de la BCE Mario Draghi. Derrière les risettes diplomatiques, l’épreuve de force est donc belle et bien engagée. Et la BCE a tiré la première.
L’institution, non élue, avait autorisé les banques grecques à donner comme garanties les titres grecs, à condition que le gouvernement grec suive le programme de la troïka (BCE, Commission européenne, FMI). Elle justifie, dans son communiqué, sa décision de ne plus considérer ces titres comme une garantie sur la simple « présomption (…) qu’il n’est pas possible à l’heure actuelle d’anticiper une issue positive » aux négociations sur le programme d’aide international dont bénéficie Athènes. La décision de la BCE intervient en effet alors que Yanis Varoufakis et le nouveau Premier ministre grec, Alexis Tsipras, faisaient une tournée européenne pour tenter de renégocier la dette grecque, conformément au programme de Syriza qui a gagné les élections législatives du 25 janvier.
Ils vont peut-être se tourner vers d’autres pays que l’Europe.
On ne quitte pas la mafia capitaliste sans conséquences… Les maîtres actuels de l’euro useront de tous les moyens à leur disposition pour faire pression sur l’état grec. Il ne doit pas se soumettre à ce chantage et montrer la voie aux autres peuples pour s’affranchir de l’esclavagisme de la dette.
L’Europe est en marche… Arrêtez la, je veux descendre
Maintenant j’espère que les gens qui suivent les médias officiel, vois qui nous dirige, c’est bien la preuve que nous vivons dans une dictature bancaire de rentiers et de spéculateurs qui échappe à d’impôts via les paradis fiscaux et une législation complaisante, l’Euro est une prison du chantage à la dette, la démocratie n’a plus aucun sens, si les peuples ne vote pas comme il faut ils sont sanctionner.
Cette Europe ne peut pas être changer, parce que les élections n’ont plus aucune valeur c’est un démocratie de façade, diriger par 1% des plus riches.
à toutes les personnes qui aiment l’argent………….
je pense que votre cerveau assimile mieux la rentabilité que le partage….
vous verez!! le temps montrera que l’humanité sera plus riche par le partage que votre avarice égocentrique