Source : Capital
On en parle souvent comme du nouveau « mal du siècle ». Pourtant, la reconnaissance des malades est encore rare. En cause : une définition très floue de cette pathologie, et un cadre législatif quasi inexistant…
Le surmenage, un phénomène de masse ? C’est ce que tend à montrer l’étude du cabinet Technologia, spécialiste des risques professionnels : 12,6% des actifs interrogés étaient au bord du burn-out, entre ceux qui ont trop de boulot et ceux qui sont obsédés par leur travail.
Cette pathologie « touche désormais toutes les catégories socio-professionnelles », explique Marie Pezé, psychanalyste et experte de la souffrance au travail. Au total, 3,2 millions de Français seraient affectés. Les plus surmenés étant les agriculteurs, qui sont 60% à faire preuve de compulsion dans le travail.
Et pourtant, seules quelques dizaines de cas de pathologies psychiques sont reconnues par la sécurité sociale chaque année, selon Technologia. Alors pourquoi un tel décalage ? Tout simplement parce que le « syndrome d’épuisement professionnel » n’est pas reconnu comme maladie professionnelle. Il ne figure pas dans les tableaux annexés au Code de la sécurité sociale.
Il paraît que ça se soigne avec un rail de coke ou un cacheton d’amphétamine .quand ça marche plus t’es jeté à la rue …La société s’en fout il y en a 10000 qui attendent pour prendre ta place .
Un regard constructif sur cette maladie (cause physiologique et moyens naturels d’y remédier) :
Partie 1 : http://regenere.org/videos/fatigue-chronique/fatigue-chronique-epuisement-burn-out-1-la-piste-intestinale.html
Partie 2 : http://regenere.org/videos/le-stress/fatigue-chronique-epuisement-burn-out-2-le-stress-exterieur.html