8 janvier 2016
Les Echos
Près d’un élevage bovin, laitier ou porcin sur cinq est au bord de la faillite, selon le ministère de l’Agriculture.
« Ce ne sont pas 25.000 élevages qui sont en très grave difficulté comme je l’avais annoncé avant l’été, mais 35.000 », a déclaré mercredi Stéphane Le Foll, ministre de l’Agriculture. « La situation est encore pire que je ne l’avais pensé ». On n’en est plus aux estimations mais au décompte des dossiers étudiés par les cellules d’urgence mises en place dans les départements en 2015 pour tenter de venir en aide aux éleveurs frappés par la baisse des prix. Bilan final : ce ne sont pas 10 %, mais 18 % des élevages porcins, bovins ou laitiers français qui sont au bord de la faillite. Il s’agit pour l’essentiel de jeunes et d’exploitations petites à moyennes. « Comment peut-on survivre à une situation où l’endettement dépasse le chiffre d’affaires ? », s’interroge Xavier Beulin, le président de la FNSEA.
A en croire le principal syndicat agricole, les difficultés dépassent largement le cadre de l’élevage. La FNSEA affirme que « deux exploitations sur trois de la ferme France ont dégagé un revenu inférieur au SMIC en 2015 » sur la base des données fournies par la MSA (Mutualité sociale agricole). Non seulement l’Europe ne veut plus voler au secours des agriculteurs comme elle a pu le faire pendant quarante ans, mais la Commission européenne est devenue d’une extrême circonspection. Au point que, selon nos informations, les fonctionnaires français ont les pires difficultés pour récupérer le budget agricole de 7 milliards d’euros qui revient à Paris sur la base de sa contribution au pot commun.
Engagement sur les prix non tenus
Pourtant, le taux de fraude aux aides agricoles en France est dérisoire et ne dépasse pas 0,5 %, selon les sources publiques.
Vu l’efficience de l’élevage en terme de ressources nécessaires pour obtenir un kilo de viande (des milliers de litres d’eau, des céréales [OGM !] en masse venues du fin fond du monde…), et la responsabilité de cette industrie en matière de gaz à effet de serre (18% pour l’élevage seul, 51% avec toutes les implications de la filière directes et indirectes), et les problèmes qu’elle commence à causer du fait des très grands abus liés aux antibiotiques, et enfin les dérives des abattoirs et transformateurs (bio ou pas bio, la même.), les problèmes qu’une consommation fréquente induit en matière de santé sur le moyen et long terme, rien d’étonnant à ce que les institutions soient de plus en plus défavorables à subventionner le coût de la viande, c’est un non sens économique, une aberration écologique, et un énorme enjeu en matière de santé.
Mangez de la viande une seule fois par semaine, voir moins, et même mieux, devenez végétarien, voir végétarien, ça aura bien plus d’impact sur la société, l’écologie, la santé, que toutes les bonnes paroles de tout un chacun se limitant pour la plupart au tris sélectif et un peu de marche à pied.
Ce n’est que le début de la mondialisation … attendez la suite.
Au début les pecnos , après ce sera tous.
Un singe au pouce repliable et au cerveau d’exception,
Quand de la parole il eut fait son affaire,
Devint le Seigneur de la Création,
Personne ne dira le contraire !
source: Lord Neaves 1871
cela rappelle les fours crematoires des annees 2013 et 2014 quand des milliers de francais entre 25 et 50 ans y ont roti afin de financer le niveau de vie de criminel nazi des fonctionnaires et des retraites criminels nazis
Aquillino Morelle, Secretaire General de l’Elysee a demissionne en Septembre 2014 et a declare qu’il y avait a l’Elysee une logique politique de nettoyage ethnique comme lors du genocide au Rwanda,