6 janvier 2016
Source : Europe 1
Un maître de conférence d’Avignon est poursuivi pour avoir ironisé dans des mails internes sur des déclarations controversées de Manuel Valls.
Un maître de conférence de l’université d’Avignon (UAPV) est convoqué devant le tribunal correctionnel le 27 janvier pour avoir, dans des mails internes à son établissement, ironisé et repris des déclarations de Manuel Valls sur les « blancos », a-t-on appris de sources concordantes mardi.
Accusé de provocation à la haine. Bernard Mezzadri, 55 ans, comparaîtra pour provocation à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance à une ethnie, une nation, une race, selon la citation à comparaître. Il lui est reproché, dans un échange de messages, d’avoir notamment déclaré, évoquant une rencontre à venir entre la direction de son établissement et le Premier ministre Manuel Valls : « J’espère qu’en cette grande occasion la délégation de l’UAPV comptera suffisamment de « blancos » (et pas trop de basanés) ». Il qualifiait également dans son message Manuel Valls de « chasseur de Roms ».
Rappel 1 :
Rappel 2 :
Rappel 3 :
valls tu a raison le peuple a besoin de rassemblement, et c’est même toi qui nous rassemble, mais pour *******
Valls est un carriériste, politicien professionnel opportuniste pour qui seul sa carrière personnel compte le costume de premier ministre d’une France ravagé par le crise ,est beaucoup trop grand pour lui, comme pour la plus par de ses collègues du gouvernement, je me demande s’il y encore de vrai élites dans notre pays, en tout cas ils n’étaient pas au gouvernement, les trente dernière années.
Ce n’est plus que de la communication vide et bidon, la politique c’est du commerciale de partie qui veut ventre et imposer un système dicté de l’étranger, pour ses gens il n’y que les postes bien rémunéré avec les privilèges qui compte, ils ont ni vision ni stratégie pour notre pays, se sont des pantins qui exécutent des ordres, ils se battent juste pour être le chef pantin, se sont les capots de leur maître mondialiste, de ce capitalisme soi disant libérale qui en fait est un monopole, une dictature de la finance.
La République a perdu ses lettres de noblesse pour devenir la raie publique ou chaque lobby, chaque corporation, sont en réalité des propriétés de milliardaires philanthropes qui y fourrent leur biroute pour faire passer leur idées et faire accepter leur nouvelles réformes sociétales au peuple qui collabore et en redemande en s’assurant que les richesses du pays se partagent bien entre l’UMP et le PS comme aux dernière élections régionales. L’état d’urgence en chocolat de Hollande n’a pas vocation à malmener les terroristes mais bien à fliquer le peuple, tout comme la déchéance de Nationalité qui n’ a pas vocation à sanctionner ces même terroristes mais à ouvrir une boite de pandore pour l’appliquer à tous en prétextant que les binationaux se sentent discriminés, sachant que le terrorisme relève d’une vision juridique bien flou et surtout très variable selon ceux qui la décrivent, chaque Français sera à plus ou moins long terme susceptible d’en devenir un et de fait se voir retiré sa nationalité. De ce fait le débat tournera court au désavantage du peuple et l’idée de Nationalité se verra attaqué de toute part à grand renfort d’égalitarisme à tout craint et de multiculturalisme pour imposer le principe « Attaliste » de citoyen du monde, enfin plutôt esclave des spéculateurs boursiers pour les innocents qui croient naïvement encore au concept de citoyenneté globale.