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La Russie pourrait construire une centrale nucléaire en Algérie

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La Russie pourrait construire la première centrale nucléaire algérienne. Selon l’agence russe de l’énergie atomique Rosatom, l’accord conclu entre les deux pays ce mercredi 3 septembre sur la coopération dans le domaine du nucléaire civil, pourrait déboucher sur la construction d’une première centrale nucléaire en Algérie.

L’accord prévoit notamment l’élaboration d’un projet, la construction, l’exploitation et l’entretien des centrales nucléaires et des réacteurs de recherche en Algérie, a indiqué Rosatom dans un communiqué.

La construction d’une centrale nucléaire en Algérie avec un réacteur (à eau sous pression, ndlr) VVER pourrait devenir le projet clé de notre coopération, a précisé le P-DG de Rosatom, Sergueï Kirienko, cité dans le communiqué.

Le ministre de l’Énergie, Youssef Yousfi, avait déjà annoncé que l’Algérie compte construire sa première centrale nucléaire en 2025, pour faire face à une forte demande en électricité.

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Commentaires récents

  1. Amar

    Bonjour,
    Je ne pense pas que ce projet verra le jour alors quand bien même les algériens, depuis mai 2014, mettent les bouchées doubles pour préparer l'avenir énergétique de leur pays pour les nouvelles générations. Je vois plutôt cette nouvelle comme une tape à l'épaule de leur vieil ami l'ours roum et un message fort mais banal aux puissances occidentales en déclin qui dit : "nous, algériens, qui nous sommes battus contre l'impérialisme colonial et pour notre liberté, bien que nous n'ayons jamais su vraiment quoi en faire, on va continuer à travailler avec les russes comme nous l'avons toujours fait et si ce n'est pas l'Iran qui accède au nucléaire civil, et bien ce seront les algériens".
    Il faut savoir que le même clin d’œil de ce genre a été lancé aux américains lorsque les algériens ont fait part de leur intention d'exploiter les réserves de gaz de schiste du Sahara quand bien même ils n'osent pas fouiller d'autres parties des sols regorgeant de pétrole de peur de devenir une seconde Irak, violée et dépouillée.
    Depuis qu'ils ont envoyé chier les français et les allemands en 2013 lorsqu'ils ont décidé d'abandonner le projet DESERTEC (le plus grand projet solaire photovoltaïque au monde), les algériens se sont isolés sur la scène internationale. Aujourd'hui, devant un monde qui se déchire et qui, parce qu'à bout de souffle s'effrite, et où les alliances économiques et militaires se font, se défont et se refont, les véritables dirigeants algériens, eux, se cherchent un cap sans même savoir où aller ni quoi faire.
    Même si les algériens disposent d'une quantité non négligeable d'uranium, ce projet est incohérent avec l'avenir vert de notre planète car à mon sens, la priorité des priorités pour un pays comme l'Algérie, reste de mettre l'accent sur la récupération de l'énergie solaire, propre et non polluante, non sur l'exploitation d'énergie dangereuse et polluante.

    1. jojo

      Navré d'apprendre que Desertec a été abandonné, c'était un bon projet pour l'Algérie, ça pouvait diviser sa consommation de gaz par 2, voir si bien planifié, la rendre totalement autonome pour des années.

  2. Bonfils

    Quand es ce que l'on arrêteras de bétonner des bombes atomique dans le sol, surtout en Algérie ou le soleil ne manque pas.

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