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Passer, coûte que coûte la réforme du travail. La ministre du Travail Myriam El Khomri a exprimé sa volonté de « convaincre » les parlementaires du bien-fondé de sa réforme du droit du travail, tout en laissant entendre que le gouvernement, si besoin, pourrait utiliser l’article 49.3 permettant une adoption sans vote, dans un entretien aux Echos à paraître jeudi.
Interrogée sur les inquiétudes de la majorité face à un projet donnant plus de flexibilité aux entreprises et l’hypothèse d’un 49.3, la ministre affirme que le gouvernement prendra « ses responsabilités ». « Nous voulons convaincre les parlementaires de l’ambition de ce projet de loi. Mais nous [avec le Premier ministre] prendrons nos responsabilités », dit-elle en annonçant un débat parlementaire « nourri, car il y a un changement de philosophie important ».
Primauté de l’entreprise pour l’aménagement du temps de travail
« Nous voulons faire avancer le pays par le dialogue social, garantir davantage des droits réels et rendre les entreprises plus compétitives », ajoute-t-elle. Le gouvernement « ne considère pas les mini jobs allemands ou les contrats zéro heure anglais comme des modèles, bien au contraire », mais « nous ne vivons pas dans un monde clos et nous devons nous aussi évoluer », estime la ministre.
« Nous voulons faire avancer le pays » oui elle ne precise pas vers quoi… Sa m’a l’air d’etre plutot avancer vers sa chute ..le faire courrir à sa perte ..elle connait le 49.3 alors qu’elle ne sait rien sur le cdd..
Vous savez vers quoi, le début du vingtième siècle, les enfants à la mine, comme au bon vieux temps, c’est bien la République universel maçonnique, des droit de l’homme pour une minorité, qui doit être servi par la majorité.
oui on retourne à l’époque de mon arrière grand-père (100 ans en arrière) c’est le progrès vu dans le rétroviseur de nos politiques, ils n’ont pas vu le précipice.