Source : Le Point
Le patron de la branche chilienne de l’organisation de lutte contre la corruption serait lié à au moins cinq entreprises offshore. Un comble.
« Un grand jour dans la lutte contre l’évasion fiscale. » C’est en ces termes que Daniel Lebègue, président de l’ONG Transparency International France, a commenté la révélation d’avoirs cachés au Panama par des centaines de personnalités, le désormais fameux scandale des Panama Papers.
Pourtant, la principale organisation de la société civile de lutte contre la corruption n’est pas si « transparente ». Le directeur de la branche chilienne de l’ONG, Gonzalo Delaveau, a été contraint à la démission après que son nom est apparu dans les documents du cabinet Mossack Fonseca : Delaveau serait lié à au moins cinq entreprises offshore enregistrées dans les îles Vierges britanniques.
cette entité, l’avais dénoncé à cette sheitan d’H.A.T.V.P, disant valait pas quelle soit agréée chez-eux, pour les avoirs testés tout comme l’autre ainsi indirectement pas encore chez-eux « contribuables&associés »;
tant que jouirons pas du POOL ANTI-MAFIA commueraient nos préfectures, ça dansera encore est encore et tjs ainsi ce beau pays nommant « la FRANCE », en train tombée en ruine et mise en jachère la pauvre
Pas un seul israélien, pas un seul américain dans cette liste…
eh oui !! le joli hasard.