francesoir.fr
On savait les fast-foods dangereux, mais pas autant. Selon une étude américaine, les enfants qui consomment ce type de nourriture plusieurs fois par semaine auraient des moins bonnes notes à l’école, en particulier en sciences, lecture et maths…
Si le rapport n’est a priori pas évident, la nourriture aurait bel et bien un effet sur la réussite scolaire. C’est le résultat d’une étude universitaire américaine parue début décembre dans le mensuel Clinical Pediatrics. Menée par Kelly Purtell et Elizabeth Gershoff, l’étude démontre qu’il y aurait un lien entre une consommation significative de nourriture fast-food et les mauvais résultats à l’école. Pour arriver à cette conclusion, les auteurs ont dans un premier temps soumis plusieurs milliers d’élèves de 5th grade (l’équivalent du CM2 en France) à un questionnaire sur leur alimentation.
Résultats: plus des deux-tiers des enfants interrogés avaient consommé du fast-food dans la semaine, 20% avaient mangé ce type de nourriture la semaine précédant l’étude et 10% en avaient mangé tous les jours. A l’inverse, seuls 29 % des enfants n’avaient pas mangé de fast-food dans les sept jours précédant le questionnaire.
Ce panel a ensuite été soumis à une série de tests, notamment en maths, sciences et lecture. Evalués en CM2, ils ont été suivis jusqu’en 4e puis réévalués à nouveau. Résultat: les adeptes des fast-foods et des sodas feraient moins de progrès et auraient plus de difficultés scolaires que les autres. Les enfants ayant déclaré avoir consommé du fast-food tous les jours ou 4 à 6 fois par semaine ont obtenu des résultats 20% plus faibles que ceux qui n’en avait pas mangé.
Les citoyens sont plus pointilleux sur le carburant qu’ils mettent dans leur véhicule, que de la nourriture qui est le carburant de leur corps et de celui de leurs enfants.
Avec un mauvais carburant bas de gamme issu de « fonds de cuves » mélangés, leur « mécanique » du corps « tourne » mal, s’encrasse, tombe en « panne » (maladie), fait de « l’auto-allumage » (surexcitation, rage-road, délinquance gratuite), ou à l’inverse le « moteur » n’arrive pas à prendre des « tours » (épuisement donc fonctionne uniquement au ralenti).
Je ne dis pas que l’on doit se nourrir que d’aliments « nobles », de premier choix.
Mais que si on se nourrit sans arrêt de M…, faut pas s’étonner d’avoir le résultat de ce que l’on mange !
Je pense plutôt à la causalité, ce n’est pas nouveau de retrouver les familles à bas revenus dans les fast-foods et de retrouver les élèves aux résultats les moins bons chez les familles à bas revenus.
Tout à son exception bien entendu.
J’ai pensé la même chose que Mayron, la corrélation n’implique pas la causalité. Il faudrait regarder le rapport plus en détail, mais si celui-ci ne prend pas en compte les revenus et le nouveau d’éducation des parents pour les écarter des causes de l’échec scolaire et de la consommation de fast-food, alors il n’a rien prouvé
Si c’est possible d’éditer mon message, je voulais dire « niveau », pas « nouveau ». Merci
ces peut etre plutot du au milieu de vie des parents qui plusieur fois par semaine n ont pas de temps a consacre a la preparation des repas n en ont certainement pas plus pour l aide au devoir
qui appre un macdo se sent de fair ces devoir ?
mefier vous des chifre et des etudes on leur fait dire se que l on veut je vien de le prouver a l instant