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BPC Mistral Vladivostok, départ immédiat?

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Source : No Mistrals for Putin

BPC Mistral Vladivostok

Le BPC Mistral « Sevastopol » a quitté sa forme de construction et a été mis en eau cette nuit.

Dans le, pourtant immense, bassin de Penhoët, il a remplacé le « Vladivostok ». Ce dernier se trouve maintenant, vendredi 21 novembre 2014, au milieu du sas de la forme-écluse Joubert. Le système de positionnement du Vladivostok a été opportunément stoppé, hier le jeudi 20 novembre 2014 à 15H37. Pour l’observateur international, le BPC était toujours immobilisé dans le bassin. Le MMSI vient d’être réactivé ce vendredi à 8H53, confirmant la nouvelle position.

Le « Vladivostok » est à une porte du large et peut s’en aller à la prochaine marée haute, ce jour à 15H47 ou, plutôt, dans la nuit de vendredi à samedi à 04H00.

Lire la suite sur le site du groupe anti-Poutine « No Mistrals for Putin »

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Commentaires récents

  1. Robin

    Bernard Grua pense que les russes vont faire comme les israéliens avec leurs vedettes dans les années 60. Est-ce qu’il nous prend pour des idiots? Il imagine donc sérieusement qu’un bateau de cette taille pourrait rejoindre la Russie sans être repéré? Mais bon, rien d’étonnant venant d’un pro-OTANiste. Une petite interview pour cerner le personnage: http://www.breizh-info.com/15355/actualite-politique/saint-nazaire-entretien-bernard-grua-no-mistral-for-putin-interview/

  2. Rethy

    Une partie de la coque a été fabriquée en Russie. Ce serait marrant que les Russes exigent de démonter et renvoyer cette partie.

  3. Dominique

    Faire comme les Israéliens … non, ils n’en ont pas besoin.
    Si ils décident que le BPC doit partir, il partira. Qui pourrait l’en empêcher ?
    Réveillez vous ! La totalité de la Marine Nationale est moins bien armée que les gardes côtes russes.
    Au pire, si ils décident de nous punir, je pense que les deux bâtiments sabordés bien comme il faut dans leurs bassins respectifs à Saint-Nazaire serait fort embêtant pour notre économie …
    Ils peuvent se passer des BPC mais nous, on ne peut pas ne pas les vendre. Réfléchissez à « Pourquoi ? »
    Un petit indice … AREVA … Chine … Uranium.

    1. Robin

      L’OTAN trouverait sûrement un moyen de bloquer le bateau et nous aurions droit à une jolie petite crise du genre « Cuba ».

  4. Alain

    Un contrat est un contrat, ne pas le respecter est suicidaire: qui commandera encore du matériel militaire à la France si à la moindre injonction otannienne la livraison est annulée? Et les finances du chantier naval et de la France peuvent rembourser et payer le dédommagement? La marine française pourra-t-elle reprendre ce navire avec les coupes budgétaires? Ou comment l’Europe se tire une balle dans le pied au plus grand profit des USA, et avec le sourire en plus!

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