Source : La Croix
Le commissaire européen à l’Environnement a averti dès 2013 ses collègues que des constructeurs automobiles truquaient des moteurs pour fausser les tests antipollution, bien avant que le scandale Volkswagen n’éclate, affirme dimanche le Financial Times.
Le groupe Volkswagen, numéro un mondial de l’automobile, a reconnu en septembre qu’il avait équipé des millions de véhicules de moteurs diesel dotés d’un logiciel permettant de fausser les contrôles officiels de niveau de pollution.
Les dirigeants de l’UE étaient au courant du problème deux ans avant sa révélation et l’ont laissé persister, selon le Financial Times, qui cite un échange de lettres entre responsables de l’UE.
Mais c’est évident, si vous contrôlez la pollution d’un véhicule par une connexion sur l’ordinateur de bord au lieu d’une sonde dans pot d’échappement, c’est plus que suspicieux, il faut bien que les agences responsable de l’homologation des ses test soi complices, cela va beaucoup plus loin que VW, il y a du lobbyisme de la corruption au plus haut niveau, se qui est monnaie courante dans l’UE de Bruxelles, et toute cette histoire est sortie pour des raison politique c’est une attaque de plus des USA, contre l’économie Allemande.
Parfaitement !
J’ajoute, ayant ds mes connaissances un gars qui est patron de contrôles techniques (donc lui les chiffres sur des milliers de caisses il les a !), que les autres marques FONT EXACTEMENT PAREIL !!!
On était au courant mais on savait pas que ça s’appelait des trucages . . .