Alors que le Parlement mettait à l’ordre du jour un débat (sans vote) portant sur l’éventualité de frappes aériennes en Syrie contre l’Etat Islamique, l’Agence Info Libre s’est rendue dans les couloirs de l’Assemblée afin de récolter les avis de quelques députés (Valérie Boyer, Benoist Apparu, Eric Ciotti et Jacques Myard).
Débat à l’Assemblée Nationale sur d’éventuelles frappes en Syrie : paroles de députés Infos internationales
- Agence Info Libre
15 septembre 2015
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on s’en fiche ces RATS, tien d’abord sont qui pour nous le Peuple ???;
qu’ils rembourse l’état donc le Peuple est ce casse direct papette
Comment il s’appelle ce BIP qui parle de l’intervention en Libye comme si c’était une réussite, une intervention avec 1 million d’homme quel BIP, il suffit de leur couper les vivre les armes, on doit quand même savoir qui les finance et qu’ils arrête de se foutre de notre gueule.
Donc selon Myard, il faut laisser Al Assad, les Russes et les Irakiens dégommer l’état Islamique en désarmant l’ASL, et après on dégommera Al Assad. Ah les croisades, aujourd’hui, c’est devenu une sacrée cuisine !
Par un étrange principe de réalité la Syrie ne s »est pas effondrée malgré qataris, saoudiens,turcs et autres disciples de Sabbataï, ces soi-disant guerres pour la démocratie n’ont pour seul but que l’agrandissement d’un territoire par vols, génocides, expulsion ; daesh,isis,EI,ne sont que la cheville ouvrière du programme du Deutéronome.
Jusqu’à ce que l’Angleterre ne soit corrompue par la Banque et déclaré son schisme, les guerres épargnaient les populations, depuis le monde subit le joug, l’avidité de la finance soutenue par une spiritualité cryptée par les lumières et ses droits de l’homme. Quand on se penche sur le laboratoire Palestinien, on voit le creuset ou se forge l’idéologie paranoïaque, du peuple refermé sur lui même et victime de son incapacité à aimer les autres par la haine multiséculaire entretenue légitimant le pouvoir des quelques gourous.
Le parlement ne sert à rien, les décisions sont prises à Washington. Si ces pique-assiettes servaient de manière constructible, ils auraient démis depuis longtemps, sans qu’on le leur demande, l’adversaire de la finance qui, atteint de la maladie d’absence de morale de Fabius, israélien dans l’âme (au cas où il en aurait une, ce dont je doute), s’apprête à bombarder « par mégarde » les troupes et les installations syriennes.
Tout ce cirque de coalition montée contre Daech, ISIS… est de l’enfumage. S’ils voulaient éliminer ces hordes de mercenaires, ils le pourraient très facilement en cessant de leur fournir armes, vivres, financement et assistance médicale, et en rapatriant dans leurs pays occidentaux d’origines les commandants de bataillons qui dirigent les voyous.
ça rime à quoi un débat sans vote ????
Daech, ce Diable du 21ème siècle qui s’est transfomé en un laps de temps en une armée dotée de tous les armements sophistiqués (mitraillettes lourdes, chars, explosifs, et même des avions) d’où sorte-il réellement, si ce n’est, la création d’un Etat puissant à l’image d’Israel ou les USA. Le débarquement d’une telle force sous la couleur terroriste la plus cruelle et sa prolifération à travers les quatre coins de la terre sous les regards complices des Occidentaux s’inscrit dans un plan diabolique prévu depuis l’annonce de la création de la nation isréalienne , préparée soigneusement depuis le plan de partage de la Palestine en 1947.Plusieurs voix s’élèvent pour dénoncer le double jeu de l’EI, celui qui coupe les têtes des petits enfants et des innocents au nom de l’Islam et celui qui ferme les yeux sur les crimes d’Israel contre l’islam à Gaza et qui n’ose même pas prononcer le mot ‘’hébreu’’ dans ses communiqués qui ‘’noient’’ les réseaux sociaux.
C’est confirmé, Daech n’attaquera jamais Israël parce que tout simplement, un apprenti n’attaque jamais celui qui l’a formé à devenir un professionnel dans le terrorisme ! On n’attaque jamais son patron, puisque a toujours besoin de lui.Ou si on peut le dire en toute franchisse, un chien bien dressé n’attaque jamais son maître.C’est, l’adjoint d’El Baghdadi qui a répondu personnellement à cette question, il a dit :’’ qu’ils ne pouvaient pas s’attaquer à des mécréants lointains sans en avoir fini avec ceux déjà présents au voisinage, c’est-à-dire les chiites, les chrétiens d’Irak et tous les ‘’non-musulmans’’ du coin.