Après avoir multiplié les actions coup de poing ciblant des supermarchés ou encore des bâtiments publics comme la préfectures de Caen, des éleveurs français sont venus à la rencontre des parisiens mardi 25 août afin de faire la promotion du label « Viande de France » visant à aider les consommateurs à privilégier des produits français.
Sur internet, des activistes végétaliens se sont attelés toute la journée à saper cette campagne en diffusant de nombreuses images chocs sur Twitter via le hashtage #ViandeDeFrance afin de dénoncer l’exploitation animale.
Note AIL : L’Agence Info Libre a rédigé un article complet sur la crise agricole et ses origines. A retrouver dans la lettre d’analyses et d’informations libre n°5 à commander sur la boutique de l’AIL
Pourquoi les vegetaliens se comportent comme de fachos, c’est leur choix de ne manger que du vert, qu’ils laissent le choix a chacun de faire se qu’il veut. Marre de tous ces fachos dès qu’on as une autre opinion que la leur ….
Les « activistes végétaliens » prennent les images de ce qui se fait de pire dans le monde pour essayer de faire croire que c’est partout pareil. Ils prétendent lutter contre la souffrance animale mais ne font pas grand chose pour défendre les éleveurs qui traitent bien leurs animaux.
« Des activistes végétaliens »… et les producteurs et les innombrables publicités pour la viandes et les produits animaux ainsi que l’immense majorité des produits que l’on trouve en grandes surfaces qui sont des produits animaux, ça n’est pas un peu plus « activiste » que les végétaliens?
Partout l’idéologie « carniste » est diffusée et normale.
Art à, les végétaliens vous imposent-ils de manger du tofu? Je e pense pas…
Rémi, même si un éleveur « traite bien ses animaux », cela n’est il pas encore pire puisqu’au final il trahit la confiance de ses bêtes pour leur trancher la gorge et mettre un terme prématurément à leur vie.
Le problème c’est tout ses intermédiaires qui se nourrissent sur le dos des agriculteurs, les marchands.
Et de toute manière pour faire de la qualité il faut réduire considérablement la taille des élevages, un éleveur qui à 200 vaches et milles cochon ne peut pas faire de qualité, il y à 35 40 ans un éleveur avait 20 vaches, quelque poules et 3 à 4 cochons, qui était nourri avec des produits de la ferme, les vaches allait tous les jours au pré pendant les belle saison, l’utilisation de nourriture acheté était exceptionnel.
Dans le petit village ou j’habite il y avait 40 à 50 agriculteur il y 35 ans , maintenant il en reste 4, le problème sont aussi les subventions qui profite uniquement au grand agriculteur, plus vous avez de terre et d’animaux plus vous toucher, c’est la politique pousser par les marchands qui on fait de l’agriculture une industrie comme les autres, pour qu’il puissent augmenter leur marches, et tous cela sur le dos du producteur, c’est pas compliqué, cela à été fait intentionnellement.
Je ne pense pas que les végétaliens forcent tout le monde à manger du tofu…
Devenir végéta*ien est un choix personnel, une longue réflexion et un travail personnel sur soi. Ca n’est pas une lubie, du fascisme ni insensé.
En revanche, manger de la viande et des produits animaux n’est pas un choix. C’est ce que l’on nous apprend depuis tout petit, La propagande nous le martèle tous les jours: publicité, PNNS, « les produits laitiers sont nos amis pour la vie », pression sociale, etc. Si c’est un choix, souvenez-vous à quel moment vous avez fait ce choix.
Et c’est encore moins un choix personnel, puisque manger de la viande implique de manger un animal. Or, cet animal n’a pas choisi d’être tué pour être votre repas. Les végés font uniquement entendre la voix de ceux qui ne peuvent s’exprimer et se défendre face à ce zoocide.
Les « activistes » végétaliens » (qui ne sont pas plus « activistes » que ne le sont ceux qui défendent l’idéologie carniste répandue) ne prennent pas systématiquement ce qui se fait de pire dans le monde, mais tout simplement la norme de ce qui est pratiqué. Je ne sais pas ce que veux dire pour vous « bien traiter ses animaux », mais les animaux « heureux » (ou en tout cas les moins malheureux) ne sont pas répandus dans les élevages, ils sont marginaux et ne représentent pas grand chose face aux normes de l’élevage intensif/industriel qui représente selon les filières entre 80 et 95% de ce qui existe.
Ca me fait penser a certaine association qui profitent d’absoluement toute les opportunites pour delivrer leur message meme si c’est immoral, comme ici.