Strasbourg, 15 juillet 2014, Nigel Farage s'interroge sur le processus électoral de la présidence de la commission européenne. Comme d'habitude, Nigel Farage nous gratifie d'une diatribe extraordinaire contre M. Junker et M. Schulz.
Strasbourg, 15 juillet 2014, Nigel Farage s'interroge sur le processus électoral de la présidence de la commission européenne. Comme d'habitude, Nigel Farage nous gratifie d'une diatribe extraordinaire contre M. Junker et M. Schulz.
Ultimate Farage !
Certes, Farage sait bien parler; c'est un bon orateur et il sait tailler des shorts et des costars à certains pontes européistes. C'est un plaisir de l'entendre dézinguer ces élites bruxelloises autoproclamées. Mais ce qu'il ne faut pas oublier, c'est le programme économique de Farage et de son parti (UKIP). C'est un programme ultra-libéral que n'aurait pas renié Margaret Tatcher.
Je réponds à vous, en même temps je réponds à tous ceux qui critiquent Farage: Si l'UKIP veut imposer un système libéral en Grande-Bretagne, ce n'est pas notre problème. Il fait ce qu'il veut et les britanniques sont assez grands pour voter en conséquence. Ce qui est important aujourd'hui, c'est de dénoncer cette UE antidémocratique.
Pareil pour ceux qui reprochent à l'UKIP d’être supportée par un financier ultra-riche, ce n'est pas notre problème.
exellent.
J'apprécie le personnage et ses discours, tout comme sa volonté farouche de sortir de l'Union Européenne. Il faut malgré tout garder à l'esprit les éléments que vous citez. Tout comme pour les autres sujets abordés par AIL, savoir qui finance qui, quelle idéologie guide tel ou tel parti, sont des éléments de réflexions qui peuvent permettre de prendre du recul.
Cela n'invalide pas forcément les analyses de l'homme mais permet de nuancer.
A bon entendeur !
Curieux oiseau ce Juncker... Pour la petite anecdote, cet ardent fédéraliste fut contraint de démissionner de son poste au Luxembourg car il était un agent actif des services secrets de l'OTAN. Cela en dit long sur le personnage (source: Thierry Meyssan). On nous impose un homme chargé de faire disparaître les états, chose qui arrivera de toute façon si on continue sur cette voie: on commence par les frontières, on déplace de plus en plus les pouvoirs vers une capitale unique... ... et on accueille cet homme à bras ouverts! Nos gouvernements, qui soutiennent ce projet depuis des années, sont réélus par des gens qui n'ont finalement aucun amour pour leur pays, ceux ci ne peuvent pas se dire patriotes.
David, le "c'est pas ton problème" est un argument qui prouve que je me suis trompé en me connectant sur ce site. vive l'info "libre", bande de propagandistes...
Je ne vois pas quel est le rapport entre ne pas vouloir s'accaparer les problèmes d'autres pays lorsque le sien en à déjà, et être un propagandiste. Cela ne démontre d'ailleurs aucune opinion, il n'y a pas matière à être offensé.