17 mai 2015
Source : Express.be
Au cours de toutes les récessions depuis 1970, la Réserve fédérale américaine a réduit le taux de base d’au moins 5%. Il est désormais totalement impossible de mettre en œuvre ce genre de stimulus traditionnel. Lors des précédentes crises, les reprises avaient permis aux décideurs fiscaux de refaire le plein de munitions, mais la reprise actuelle – aux États-Unis comme ailleurs – est caractérisée par un pénurie persistante de munitions. Et c’est un gros problème. »
Cette observation, c’est celle que l’économiste d’HSBC Stephen King a rédigée dans une note à l’attention de ses clients. Selon lui, l’économie mondiale est comme le Titanic, un paquebot sans canot de sauvetage : si une autre récession devait survenir, ce pourrait être une lutte réellement titanesque (‘titanic’, en anglais) pour les dirigeants politiques », estime-t-il.
oui, mais avec la musique en moins.
Vous vous trompez capitaine, nos politiques relayés par nos médias se chargeront de jouer de la musique douce…
C’est le résultat des planches à billets, qui en plus ne profite pas à l’économie réel mais ne servent qu’à gonflé les marchés boursier.
C’est ce qui arrive quand on donne la maîtrise de la planches à billet au banques privées, sans maîtrise de la création monétaire, aucun gouvernement ne pourra intervenir en faveur de l’économie réel.
Il y a une bulle énorme sur les marchés qui ne cesse de gonflé, tandis que l’économie réel ralenti partout, le chômage augmente et ne baisse plus, même si nos dirigeant n’arrête de nous mentir et donner des chiffres truqué.
La FED Américaine est une maffia de faut monnayeur, et si cette bulle qu’il ont crée explose, 1929 sera une rigolade à côté, mais aussi longtemps que la planche à billet tourne elle continuera de gonflé, on optimise la hauteur de la chute, on est à 300 klm/h le murs approche et au lieu de freiner on continu d’accéléré, et que nos génie du gouvernement viennent pas nous dire qu’ils on pas vu venir.
Sauf que le titanic avait une destination.
Ça fait 20 ans qu’on nous prédit la fin de l’économie américaine à la première maison invendue, et force est de constater qu’elle s’en tire toujours. Ne rêvons pas, il suffit qu’ils appuyent sur un bouton pour que ça reparte.
C’est simplement le résultat d’un système économique qui ne prévoit aucune limite dans un monde qui a ses propres limites. Lorsque ce système a commencé, deux solutions inévitables ont été engendrées: broyer les autres ou alors être broyé. A celui qui veut le lire, enlevez votre argent des banques !!! Il faut arrêter de nourrir les inutiles et les responsables des futures catastrophes.