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A peine deux jours après les sanglants attentats de Bruxelles, Ahmet Davutoglu a déclaré que l’Europe devait se tourner vers Ankara pour assurer sa sécurité régionale, alors que cette dernière intensifie sa campagne pour rejoindre l’Union européenne.
Réuni à Ankara avec les membres du Parti de la justice et du développement, au pouvoir, le Premier ministre a affirmé : «La sécurité de l’Europe commence par la Turquie et pour la sécurité de la Turquie, il doit y avoir une zone de sécurité dans le nord de la Syrie».
Le 17 février, le vice-Premier ministre turc Yalcin Akdogan avait réclamé la création d’une «zone de sécurité» de dix kilomètres à la frontière turco-syrienne, exempte de combattants.