La seule solution, face à cette impasse, serait soit de l'annuler purement et simplement, comme en Russie, soit de recouvrir le droit régalien de battre monnaie, et de s’emprunter à taux zéro à la banque de France.

C'est à dire, de ne plus faire appel au marché privé pour tout ce qui est du financement de nos infrastructures, mais plutôt à des institutions publiques.

Dès lors, nous pourrions, à court terme, soit rembourser d'un coup tout ce que l'on doit, soit dans un laps de temps à définir, amortir le poids de la dette, jusqu'à un taux faible entre 0 et 10% du PIB.

Mais cela pousserait à faire un choix de modèle économique, autant dire quasiment un changement de paradigme, puisque d'une vision ultra-libérale, nous passerions à une forme de socialisme authentique.

Je doute que ce soit l’intérêt de nos élites, qui sont dans une optique mondialiste, c'est à dire, affaiblir les nations de l'intérieur, pour les fondre dans des bloques supranationaux, qui se fédérerons entre eux pour former le gouvernement mondial.

Lorsque l'on fait l'état des lieux, l'on constate que la dette et le projet mondialiste ne font qu'un. C'est un outil qui est mis au service de ce projet, pour facilité son achèvement. Autrement, l'Oligarchie traite et apatride serait face à des nations fortes, qui résisterait à l'idée de leur absorption...

Là est tout le combat à mener, si tant est qu'il soit viable. Car, à mon sens, il faudra toucher le fond pour que les gens puissent concrètement se réveiller... qui vivra verra.