Tout n’a donc pas été dit sur l’affaire Kerviel. Ce sinistre épisode bancaire qui s’est soldé par une perte de près de 5 milliards € dont 3 milliards € pour les actionnaires de la Société Générale et environ 2 milliards € pour le contribuable, recèle encore bien des mystères.
Or, les langues commencent à se délier. Nous avons recueilli des témoignages sur le débouclage de la perte dite Kerviel. Et, ils ne collent pas à la version des faits orchestrée par la Société Générale. La banque et son dirigeant auraient caché des informations capitales qui impliquent les grandes banques françaises.
Daniel Bouton, son président, aurait menti. Et son directeur de la communication aurait livré dans son livre « La semaine où Jérôme Kerviel a failli faire sauter le système financier mondial » paru en 2010, un scenario réécrit. Or, comme souvent dans cette finance de marché qui brasse des milliards € dans l’ombre, les bobards peuvent cacher des opérations discrètes dont la finalité reste mystérieuse.
Daniel Bouton soutient qu’il a gardé le secret, c’est faux
Les engagements de Kerviel découverts, selon la banque, le samedi 19 janvier 2008, reflètent une position spéculative de 50 milliards €. Daniel Bouton, le PDG appelle le gouverneur de la Banque de France et le président de l’AMF pour les avertir de la découverte. Le dimanche 20 janvier, il obtient un délai pour pouvoir déboucler la position Kerviel. Il pourra annoncer au marché les pertes qui en découleront le jeudi 24 soit quatre jours plus tard. Pourquoi ne pas rendre les pertes publiques immédiatement ? « Pour garder le secret lors du débouclage et minimiser les pertes », avance la Générale.
Ne pas informer le marché d’un risque de perte colossale, c’est interdit sauf à ce que le PDG promette le secret absolu. Visiblement, le gouverneur de la Banque de France Christian Noyer, le président de l’AMF Michel Prada acceptent de différer l’annonce sous cette condition. Ils se porteront même garants de la discrétion totale du PDG, auprès de la ministre de l’Economie, Christine Lagarde.
Contrairement à ce qu’il a promis, le soir même, Bouton prend son portable et appelle des patrons de grandes banques françaises. Des témoins de premier plan affirment avoir été joint par Daniel Bouton en personne « vers 21 h …depuis son portable » précise l’un d’eux. Il prévient ses pairs de la découverte des positions du « rogue trader », et du débouclage imminent de celles-ci.
De multiples initiés tentés de protéger leurs positions et/ou de spéculer
Daniel Bouton n’a donc pas gardé le secret, loin de là. Il ne se serait d’ailleurs pas contenté d’avertir ses confrères français. Josef Ackerman patron de la Deutsche Bank, véritable parrain de la banque européenne pendant la crise, aurait été tenu au courant au même moment. Bouton, a-t-il aussi passé le mot à Alessandro Profumo, le patron d’ Unicredito qui recrutera par la suite Jean-Pierre Mustier, le patron de la banque d’investissement lorsque ce dernier quittera la banque de La Défense ?
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Note AIL : En Avril 2011, Denissto avait remonté cette affaire en Une de son site (en 2008 déjà, il dénonçait cette affaire sur le site Boursorama, filiale de la SG, ce qui lui valu une censure définitive) et nous avait averti du délit d’initié où un multimilliardaire américain, support financier de George Bush, Robert Day, avait eu une illumination qui lui permis de sauver ses billes avant la tempête et même de faire 86 millions d’euros de profits.
Ainsi, l’A.P.E. fait danser le monde. http://manifesteducommunisme.com/Dialectique1.html
APE = Ces trois éléments sont un seul phénomène. Une seule relation humaine et ils sont interdépendants.
L’Argent est une forme de propriété qui s’échange.
La Propriété est une forme d’argent qui s’échange.
L’Echange est déplacement de l’argent et de la propriété.
Que vaut cette argent? , c’est le fouet virtuel de nos esclavagistes, pour obliger les humains à sacrifier leur liberté et leur vie pour les servirent.
La seul chose qui à une vrai valeur est le travaille utile et vital, pour l’intérêt générale, et tout les autres usuriers spéculateurs et marchands ne sont que des parasites qui se nourrissent sur le dos de ceux qui fond un travaille réel.
La monnaie est en outil utile quand elle est entre les mains du peuple et aux service du peuple, la privatisation de l’argent nous à emmené dans un système mafieux, de corruption de chantage et d’esclavage des peuples, par le vol des biens payer par le peuple par la privatisation.
La S/G une des banques les plus pourries de FRANCE !
J’en ai fait les frais moi aussi .
« avait eu une illumination qui lui permis de sauver ses billes avant la tempête et même de faire 86 millions d’euros de profits. »
…
avait eu une illuminati OUAI ! ( è_é )
Okay, ça va, je sors ( -_- ‘ )