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Les secrets inavouables de nos portables (2014) – Magazine d’information. Non classé

Mots-clés :

Nom original: Cash Investigation: Les secrets inavouables de nos portables. 

Année de production: 2014
Journaliste: Martin Boudot, Élise Lucet.
Durée: 115 minutes.

Synopsis:

Aujourd’hui sur la planète, il y a plus de téléphones portables que de brosses à dents, il se vend 57 mobiles chaque seconde. Cash Investigation a enquêté pendant un an sur les secrets inavouables des multinationales du portable : Samsung, Apple, Huawei ou encore Sony dont la réussite économique est insolente.

En Europe, en Chine, en République Démocratique du Congo, Martin Boudot met au jour les pratiques les plus controversées de la fabrication de nos téléphones. Les images chocs et inédites tournées dans les usines en Chine et au fond des mines en Afrique montrent une réalité bien différente du rêve vendu par l’industrie dans ses publicités.

Conditions de travail indignes, emploi d’enfants par dizaines, pollution massive, scandale sanitaire, financement d’un conflit armé… Autant de situations dont semblent s’accommoder les fabricants de téléphones, qui profitent parfois de l’opacité des circuits financiers.
Elise Lucet et les équipes de Cash Investigation ont réussi à remonter les filières et confronter les grandes entreprises de smartphones aux réalités qu’elles préféreraient dissimuler.

L’avis de l’AGENCE INFO LIBRE: ★★★★☆

L’Agence Info Libre ne cesse de montrer et de démontrer les manipulations médiatiques dont nous sommes les victimes consentantes. Soit par l’intermédiaire des informations alternatives que nous diffusons, soit carrément en analysant et démontant des émissions dites d’investigation.
Simplement, tout n’est pas blanc ou noir.

Ainsi, il arrive régulièrement que l’on trouve encore aujourd’hui des documentaires et des reportages de qualité à la télévision française. Ce programme en est un.
En effet, en s’attaquant plein fer à l’industrie du téléphone portable (des centaines de milliards d’euro de chiffre d’affaire mondial chaque année), l’équipe de CASH INVESTIGATION prend le contre-pied des autres rédactions françaises, souvent beaucoup plus conciliantes lorsqu’il s’agit des acheteurs d’espaces publicitaires.
De la Chine au Congo, en passant naturellement par la France, les journalistes traquent l’exploitation des enfants, les atteintes environnementales et les dérives de cette industrie devenue vitale à l’économie mondiale. Bref un vrai condensé de ce que l’ultra capitalisme peut provoquer…

On regrettera le ton parfois facétieux du programme, typique du journalisme bourgeois parisien qui pense que la dérision et la gaudriole donnent du piquant au vrai. Regrettable…

Commentaires récents

  1. Louch

    C’est clair qu’a chaque fois ils ont: Les sujets, les scandales et les scoops et ils se foirent en scénarisant leur reportage comme si on se matait un épisode des Experts a FranceTélévision

    1. Arnaud de Sède

      Peut-être mais en attendant ils font ce qu’ils peuvent. Ce que peut un journaliste dépendant est évidemment très limité mais il peut aussi ne pas le faire en se contentant de ne pas poser de questions et surtout de ne pas en susciter. L’avantage du travail d’Elise Lucet est principalement de toucher beaucoup de monde et pour cela elle doit faire avec ce qu’elle a.

    2. Louch

      Toucher bcp de monde, suis pas sur…. vu par bcp de monde oui c’est sur. C’est un peu comme la vidéo virale Look Up. Partagée par des milliers de personne…. sur facebook et qu’est ce qui a changé? rien. Facebook, Gmail et toute la clique utilise même maintenant le pronom « moi » à la place de leur utilisateur. On ne compte plus les applications qui géolocalisent, récupèrent et traite ces données. Le train est en marche, tenter de le stopper n’a pas de sens. Il faut en sauter.

  2. bonfils

    Bientôt votre portable servira de carte de payement, comme cela on pourra facilement imposer une société sans liquide, quand je vois tous ses gens dans la rue les yeux rivé sur leurs portable, j’ai l’impression d’être dans une forme de zombieland, moi je ne possède pas de portable et si jamais un jours je serai obliger d’en avoir un je l’utiliserais uniquement pour téléphoner.
    Levez les yeux réveillez vous.

    1. JB

      @Bonfils,

      Ce que vous dites est déjà en fonction. La prochaine étape est l’implantation d’une puce sous-cutanée, déjà en fonction aux US, au Japon, en Suède, au Danemark, en Espagne, au Danemark, en Italie, etc etc… Puce proposée souvent comme « un simple dossier médical » (USA), « une manière de payer plus facilement en boite de nuit » (Espagne, Suède) ou encore le « meilleur moyen de pointer au travail » (Japon)… Big Brother est en marche, et rien ne semble pouvoir l’arrêter, grâce à la lobotomisation des esprits…

  3. Indice 240

    J’ai noté quelque chose, en particulier, qui n’est pas en rapport directe; avec le sujet. Souvant on entends des propos dénigrtant les occidentaux, et en ce qui nous concerne, la France; à propos de l’esclavage autrefois. Dans ce reportage, les esclavagistes sont asiatiques et africains !

    1. bonfils

      Les esclavagistes sont les oligarques, il faut comprendre que ses gens n’ont pas de patrie, il ne faut pas voir sa selon des nations des pays, qui en France à profiter de l’esclavage, les paysans les ouvriers? qui à cette époque était gère mieux traité que les esclaves, les esclavagiste sont le plupart les anciennes famille qui actuellement ne sont plus lier directement, ils ont l’intermédiaire qui est la banques, les esclavagiste de l’ancienne époques sont devenu les actionnaires et spéculateurs, les patrons de ses entreprises sont pousser par les marchands à casser les prix pour avoir des contrats, les esclavagistes actuel sont dans la haute finance et sont plus puissant que jamais sans se salir les mains.
      Ses esclaves qui bossent dans ses usines doivent nourrir, leur patron, la banques par les intérêts des prêts de l’entreprise, les marchands qui veulent faire 300% de bénéfice sur les produits, les publicitaires et les actionnaires qui on investie dans la boite qui vend le produit.
      Ce qui donne des produits de mauvaise qualité, peu durable fabriqué des gens extrêmement mal payé , mais vendu à des prix exorbitants, qui polluent la planète et consomme à vitesse grand V les matière première, c’est ainsi que fonctionne se capitalisme libéralisé et sauvage.
      L’esclavage existe toujours, même chez nous un travailleur pauvre qui ne peu pas se nourrir ou ce loger avec son salaire est un esclave.
      C’est pas parce que quelqu’un à un salaire qu’il n’es pas un esclave.

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