Le second numéro de la lettre confidentielle mensuelle sera disponible ce vendredi 3 avril. Nous vous proposons en avant-première son Edito: « la liberté en peau de chagrin »

Bonne lecture.

La liberté en peau de chagrin

Qui n’a pas compris que l’Occident n’a pas de plus grand ennemi que le terrorisme ? Les attentats se succèdent, malheureusement un mystère demeure : qui se cache derrière ces actes ? Ce ne sont certainement pas les auteurs qui répondront à cette question, car du World Trade Center en passant par Londres, Madrid, Paris, et pour terminer à Tunis, ils ont toujours le bon goût de se faire éliminer ou de disparaître. Par le plus grand des hasards, il existe un document déclassifié de la CIA que l’on pourrait nommer « le manuel d’assassinat de la CIA« , qui explique en 19 pages comment renverser un gouvernement, assassiner un chef d’Etat, organiser un attentat terroriste. Dans ce dernier cas, le modus operandi est très clair : les auteurs doivent être liquidés et permettre la mise en place de lois coercitives. Quand il ne trouve pas de terroriste, le renseignement américain se charge d’en inventer comme le montre le témoignage d’un de ces anciens agent, Mike German dans un documentaire diffusé par France 2 le 12 février dernier, intitulé : « Le FBI accusé de fabriquer de faux complots terroristes« .

Notre cher Président, qui hier stigmatisait l’utilisation frauduleuse de ces « actes terroristes », est aujourd’hui le fer de lance des dispositions liberticides consubstantielles au « Patrioct Act » américain.
Malheureusement, la vérité est beaucoup plus simple : les grands qui se partagent le monde ne veulent pour bons citoyens que ceux qui s’abreuvent de l’information et de l’analyse autorisées.
Pour comprendre cette dystopie, il suffit de se tourner vers la Californie en 1995. C’est à l’hôtel Fairmont que les puissants du monde ont élaboré le prêt-à-penser. Le « tittytainment » est le passage obligatoire de la culture des masses inutiles, 80% de la population mondiale selon la loi de Pareto, excusez du peu, qui se devront d’accepter tout ce qu’ils entendront sans discuter. Tel est le prix de l’inutilité.

Malheur à ceux qui sortiront des sentiers battus, ils seront rapidement mis au ban de la société, pire encore, anathémisés comme conspirationnistes, antisémites, survivalistes ou cerveaux malades dans le meilleur des cas. Dans ce monde orwellien, il est normal de taxer d’office la redevance audiovisuelle et anormal de ne pas posséder ce mode de propagande.
Ce système d’endoctrinement des masses n’a été possible qu’avec la complicité de la classe politique dans son ensemble. La pseudo démocratie n’a jamais servi les peuples, a contrario, elle est un instrument de globalisation sauvage, cachant les objectifs des élites par des stratagèmes de détournement des esprits. Les crises inventées et répétitives ne cessent d’appauvrir les peuples, justifient des mesures d’austérités, des politiques courtermistes suicidaires qui ne servent que l’indécente richesse des oligarchies mondialistes.

Convaincus de l’imminence d’un effondrement de la liberté d’expression et de penser, nous revenons vers vous avec ce second numéro dont nous espérons qu’il recevra un aussi bon accueil que le précédent. La mise en place des structures juridiques et matérielles de cette lettre progresse, nous remercions par avance tous ceux qui nous suivront dans cette aventure. Vous pouvez envoyer vos commentaires, vos critiques et votre soutien par votre intention d’abonnement à l’adresse suivante : [email protected]